Il voulait être mécanicien. Daryl M., 18 ans, élève au sein d’une institution privée suivait des cours de mécanique depuis le début de cette année.
Le mois d’avant, cet habitant de Grand-Gaube a été appelé à intégrer un garage de Cap Malheureux pour un stage pour mieux comprendre le fonctionnement d’un véhicule.

Suivant les instructions de son établissement, Daryl en a fait part au propriétaire du garage qu’il aura à remplir un formulaire attestant la présence, la faculté et le talent du jeune homme à comprendre ce métier. Selon Daryl, le propriétaire aurait refusé d’apposer sa signature sur ce document. Alors qu’il dispose un délai d’un mois pour déposer ce document à l’école pour poursuivre ses études. « Au bou enn mwa misier inn pouss mwa. Li dir mwa al pu enn ban rezon ki mo pa konpran. Finalman kan mo explik lekol ban problem ki mo ti pe gayne, lekol inn met mwa deor », confie le jeune homme avec amertume.

Aujourd’hui, Daryl est non seulement découragé par l’attitude du propriétaire à son égard mais également désorienté par la décision de l’école de le renvoyer. Ces obstacles, selon notre interlocuteur, a ruiné sa carrière professionnelle. Si bien qu’il a été contraint de changer de métier. Aujourd’hui, Daryl veut être coiffeur. Mais sa situation familiale ne le permet pas d’approfondir sa connaissance au sein d’un établissement professionnel. Par manque d’argent.

D’où son appel à la Solidarite Marye Pike pour rechercher un salon qui pourra l’aider à approfondir sa connaissance dans ce domaine. « Si kikain ti kapav ed mwa ou konsey mwa mo ouver a tout propozisyon », poursuit-il.
Si un salon de coiffure souhaite aider ce jeune homme à retrouver une carrière professionnelle peut l’appeler sur le 5 8594950.